terça-feira, 7 de junho de 2011
À la résistance des syndicats musulmans travailleur Abattage halal
L'état actuel des syndicats en...
Les syndicats
Les syndicats ont été et sont la forme la plus indépendante d’associations de travailleurs en Iran. Ils sont donc soumis à la pression la plus forte. Tous les syndicats de travailleurs ont été interdits lorsque les dirigeants de la République islamique ont consolidé leur pouvoir en 1981 et ont été éliminés de la scène politique officielle et sociale. Les syndicalistes qui ont voulu maintenir leurs activités ont été poursuivis et certains parmi les plus actifs comme Mansour Ossanlou, Ibrahim Madadi et Ali Nejati sont emprisonnés. Des organisations comme le Syndicat des chauffeurs de bus de Téhéran et sa banlieue, le Syndicat des travailleurs de l'usine de canne à sucre Haft Tapeh et le Syndicat des travailleurs libres iraniens, figurent au nombre de ces organisations.
Conseils islamiques de travailleurs et Maison du Travail
Tout en interdisant les syndicats, la République islamique et ses partisans ont créé un rival officiel dans l'environnement du travail sous le nom d’Organisations islamiques du Travail. Les Maisons du Travail ont été chargées de coordonner leurs activités. L’ILNA (l’agence de presse du travail) est l'agence de presse officielle de ces organisations et la seule chose qu'elle ne fait pas, est de rapporter les violations des droits des travailleurs par les institutions gouvernementales. La Maison du Travail a des branches dans les capitales provinciales et les organisations islamiques du travail sont actives en province. Dès le départ, la principale fonction des conseils islamiques du travail a été de dépouiller les organisations du travail de leur identité pour leur en donner une religieuse et idéologique.
Conformément à l'article D et E de la loi 2 sur la création des conseils islamiques du travail, seuls les croyants et ceux qui sont tenus par l'islam et le système du guide suprême (Khamenei) et ceux qui n'ont pas de tendance vers les partis illégaux, les organisations et les groupes et / ou les groupes dissidents de la République islamique peuvent devenir membres de ces conseils. En outre, cette loi précise que la qualification des candidats à l’entrée dans ces conseils, est déterminée par un groupe composé du représentant du ministère du Travail, du représentant du ministère concerné et du représentant élu de l'Assemblée des employés. De cette manière, seuls les éléments (du régime) peuvent devenir membres de ces conseils ...
Les conseils islamiques du travail n'ont pas de liens directs avec les problèmes des travailleurs et jouent seulement un rôle de contrôleur dans les lieux de travail.
La République islamique a créé des faux modèles d’organisations (indépendants) pour contrer les institutions indépendantes.
Outre les conseils islamiques du travail fait pour contrer les syndicats, il y a une longue liste de fausses institutions créées par l’Etat pour lutter contre des institutions indépendantes: L’Association des étudiants islamiques (avec un conseil central nommé) vise à contrer les associations islamiques ou les organisations étudiantes indépendantes (avec un conseil central élu), l'Association des cinéastes de la Défense Sacrée vise à contrer la Maison du Cinéma, l’Association des journalistes musulmans vise à contrer l'Association des journalistes, l’Union les publicistes musulmans vise à contrer l'Union des publicistes et la Pen Association, contre le Foyer des Ecrivains. Dans de nombreux cas, les fausses institutions portent le même nom pour diminuer la popularité de l'association indépendante. (Comme le Bureau de consolidation de l'unité ou de l'Association des journalistes fabriqués par l'Etat pour marginaliser les associations indépendantes du même nom). Dans certains cas, des noms connus sur le plan international sans les dispositions islamiques sont utilisés pour donner à l'institution fabriquée par le pouvoir l'apparence d'une association populaire (comme la Pen Association).
La milice du Travail
Conscience Musulmane ont des droits !
Ces deux dernières décennies, même la Maison du Travail n’a pas toujours eu la confiance du pouvoir et du gouvernement d’Ahmadinejad en raison de certaines tendances réformistes. Le leadership et le gouvernement ont alors habilité le Bassidj (la milice) du Travail. Le Bassidj du Travail a plus militarisé l'atmosphère que les Conseils islamiques du Travail et n'accepte que des miliciens et des groupes fascistes comme représentants des travailleurs. Leur but n'est pas de réclamer des droits pour les travailleurs (fonction principale des syndicats) ni même de mettre en œuvre des règles islamiques dans les lieux de travail (objectif principal des conseils), mais d’exécuter les exigences du [guide suprême].
Le gouvernement est le principal employeur
La raison pour laquelle l'ingérence de l’Etat dans les syndicats est effective, c’est parce qu’il est en fait le plus gros employeur en Iran. Le gouvernement iranien ne se tient pas entre l'employeur et le travailleur comme médiateur et juge impartial avec des principes spécifiques qui représente le peuple, mais en tant qu'employeur. Partout où il est confronté à de l'opposition, il utilise ses forces pour réprimer et étouffer les protestations.
Les usines iraniennes sont directement gérées par l’Etat (La Fondation Qods dirigée par le guide suprême et les entreprises d'Etat) ou sont confiées à des éléments semi-publics sous le contrôle indirect de personnes ayant des liens étroits avec le gouvernement (principalement des institutions militaires et de sécurité). Dans un tel état, les chances de la croissance et la fertilité des organisations de travailleurs indépendants sont très faibles.
Les autorités divines s’opposent aux revendications
Khomeiny avait dissous les organisations syndicales indépendantes avec une seule phrase : «Dieu est aussi un travailleur». Le gouvernement a donné aux travailleurs le statut de Dieu, aux enseignants le statut du Prophète et a dit aux femmes qu’elles avaient le ciel sous les pieds pour qu'elles ignorent leurs droits et ne fassent pas de revendications, permettant ainsi au pouvoir de se partager les ressources du pays avec ses partisans.
Les représentants de Dieu sur Terre jouent le rôle des employeurs et des capitalistes et privent le peuple de ses richesses et ses ressources, un peuple qui doit se satisfaire du statut divin que leur donne le représentant de Dieu. S’il reçoit assez de pain pour survivre, c’est parce que cela a échappé à la bonté de ses dirigeants et non parce que c'est son droit.
Cette dernière décennie a été marquée par l’intensification des luttes sociales particulièrement dans le secteur public. Pour cette raison, les autorités surveillent de près les mouvements syndicaux « autonomes » et orchestrent des campagnes répressives et médiatiques pour les intimider et les discréditer.
Pour le pouvoir algérien, ils incarnent tout le potentiel révolutionnaire du pays. Les syndicats autonomes, héritage de l’ouverture politique initiée après les manifestations d’Octobre 1988, mènent depuis une dizaine d’années une lutte sans concession contre le pouvoir. Depuis le mois de mars dernier, on compte jusqu’à plus de cent grèves par mois touchant, successivement ou en même temps, les universités, les hôpitaux, les transports et les entreprises publiques. Même le secteur privé est touché comme le constructeur automobile Hyundai-Algérie dont les employés ont marqué un arrêt de travail au début du mois de mai.
Après les violentes « émeutes » qui ont commencé le 5 janvier passé et duré près d’une semaine, les syndicats autonomes se sont accordés avec la Ligue algérienne des droits humains (LADDH) sur la création d’une organisation collective dont le but était de donner une structure organisée à la lutte de la jeunesse qui venait de se soulever sur l’ensemble du territoire national.
Des partis politiques et moult associations ont été invités à participer à cette hyper-structure nommée la Coordination nationale pour le changement et la démocratie. Mais la CNCD n’a tenu que deux mois puisqu’elle a fini par se diviser en deux mouvements différents, les partis politiques d’une part et les syndicats d’autre part. Depuis lors, ce sont ces derniers qui occupent quasi-quotidiennement la rue, notamment dans la capitale. L’Etat, lui, répond par la violence ou par des mesures en trompe-l’œil.
Pour une lutte organisée
Rencontré à Alger avant les manifestations de cette année, M. Rachid Malaoui remarquait déjà que « la majorité des Algériens se révolte en permanence[1]. Mais les manifestations ne sont pas encadrées car on manque de structure organisée pour cela et l’éventuelle existence d’une structure inquiète les autorités. »
Pour le président du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP), les syndicats autonomes représentent une de ces structures. Représentant le personnel de la fonction publique, la centrale, qui refuse « l’infernale fatalité de la résignation », est justement le syndicat autonome le plus puissant et le plus actif.
Malgré les difficultés rencontrées sur le terrain, les syndicats autonomes ne désespèrent pas de pouvoir mobiliser un jour tous les Algériens, d’autant que les acteurs syndicaux sont parfois issus du combat d’Octobre 88. C’est le cas de M. Rachid Malaoui arrêté et torturé par le régime de Chadli Bendjedid.
Cette longue expérience dans les luttes sociales et politiques assure au SNAPAP une notoriété publique qui attire vers elle les associations et autres organisations comme l’observe le Comité international de soutien au syndicalisme autonome algérien (CISA) dans un communiqué : « le SNAPAP apporte son soutien et ses moyens à l’organisation de deux mouvements de contestation originaux dans le pays, mouvements issus d’une jeunesse complètement précarisée. D’une part, celui des étudiants qui renient les organisations fantoches déjà existantes et se constituent depuis février 2011 en une coordination autonome visant à dénoncer les conditions d’étude et l’absence totale de débouchés. D’autre part, celui des jeunes chômeurs, qui s’organisent de la même façon et multiplient les rassemblements, dans le cadre du Comité national pour la défense des droits des chômeurs (CNDDC)… ». M. Taher Bellabes, le coordinateur général du CNDDC, créé aussi en février, précise : « le SNAPAP sert de cadre pour notre organisation qu’il aide tant qu’il peut. Cela ne signifie pas que nous sommes sous son autorité. Au contraire, nous gardons toute notre liberté de réflexion et d’action. »
Ce « professionnalisme » dans l’organisation des luttes sociales, le SNAPAP et les syndicats autonomes l’ont atteint après de longues années de formation. A titre d’exemple, ces deux dernières années, ils ont incité leurs adhérents à l’usage des nouvelles technologies afin d’économiser leur argent et leur force pour plus d’efficacité sur un plus long terme. « Nous voulons mobiliser le plus de monde car l’école publique est aujourd’hui menacée », nous dit pour sa part M. Idir Achour, du non reconnu Conseil des Lycées d’Alger (CLA). L’intérêt de ces journées de formation, pour le SNAPAP, est d’éviter l’erreur des partis de l’opposition qui n’ont pas initié les jeunes générations à la vie militante. « Les fondateurs des partis politiques n’ont pas pensé à préparer la relève, commente M. Malaoui. C’est pour cela que les syndicats ont repris le relais dans le combat pour la démocratie. »
A ce titre, ils ont investi l’espace médiatique et Internet à coups de communiqués de presse, d’informations envoyées aux journalistes en temps réel. Ils nourrissent aussi les réseaux sociaux et les sites web youtube et dailymotion de vidéos reflétant la réalité de leurs luttes et la répression qui s’abat sur eux.
Parmi ces militants actifs sur le web et dans la rue, on peut citer Yacine Zaïd. Il s’agit d’un homme discret qui est pourtant à l’origine de tous les mouvements sociaux dans les zones riches en hydrocarbures puisqu’il est le premier homme à s’être dressé contre le mépris des multinationales à l’égard des Algériens, avant d’être rejoint par de nombreux autres travailleurs du Sahara. La brèche ouverte dans la toute puissance des compagnies pétrolières, c’est autour des chômeurs de toute la région de s’insurger pour réclamer des emplois.
Le mois de mars passé, et grâce aux vidéos de M. Zaïd sur la précarité des habitants de la ville de Laghouat, le préfet a dû intervenir pour mettre un terme à une situation dont il avait pourtant déjà connaissance. Il a ainsi débloqué une somme de 2,5 millions de dinars (250 000 euros) et engagé une assistante médicale pour quatre sœurs handicapées et vivant seules sans ressources financières dans la région gazière de Hassi R’mel.
Le bâton et la carotte
La culture syndicale est très ancrée chez les fonctionnaires algériens. Néanmoins, il n’existe toujours aucun syndicat dans le corps privé, en dehors de l’officielle UGTA (Union générale des travailleurs algériens) très décriée par les travailleurs. Cela est dû à des raisons historiques et sociales.
Après les manifestations d’Octobre 1988 qui ont ouvert le champ politique, syndical et associatif au pluralisme, différents syndicats se sont formés, dont la plupart s’est concentrée dans le secteur public où les employés se caractérisent par un niveau d’instruction plus élevé. Les entreprises privées, quant à elles, ont vu naître le Syndicat Islamique des Travailleurs (SIT) qui a été interdit en 1992 en même temps que le Front Islamique du Salut (FIS) a été dissout.
L’instauration de l’état d’urgence la même année a servi de prétexte pour interdire la constitution de nouveaux syndicats.Créé avant cette date, le Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), qui représente aujourd’hui 80 % de l’effectif universitaire, est l’une des rares formations autonomes à disposer d’un agrément. « C’est un grand acquis que d’être reconnu, admet M. Baâli Cherif Djamel, mais l’agrément aujourd’hui ne compte pas tellement [pour faire basculer les rapports de force avec le pouvoir central]. Le plus important, c’est le travail sur le terrain. Il nous faut reprendre tous les champs d’expression… ». Une tâche bien difficile quand on connaît le machiavélisme de l’Etat algérien.
En effet, le pouvoir ne manque pas de ruses pour discréditer les « autonomes ». « Des syndicats clones sont créés, nous apprend M. Malaoui. Un député à la retraite a ainsi été propulsé à la tête du SNAPAP-clone. En ouvrant le journal, on apprend qu’il a obtenu une salle pour tenir un congrès alors que nous sommes interdits de toute manifestation ! »
D’autres groupes syndicaux sont infiltrés et des dissidences orchestrées. « Pour ceux qui suivent notre vie de l’extérieur, dit M. Kecili Salem du syndicat de l’éducation et de la formation SATEF, les syndicalistes ne s’entendent pas entre eux. Des [faux] communiqués envoyés à la presse par le pouvoir sont signés du nom du président de notre groupe pour jeter l’anathème sur lui. » Le même interlocuteur remarque que « les syndicalistes corrompus ont un droit de détachement pour mener leurs activités syndicales contrairement aux autres. »
Par ailleurs, la police sous les ordres d’Abdelaziz Bouteflika n’hésite pas à enfreindre toutes les lois pour dissuader les syndicalistes d’agir sur le terrain. Dans la nuit du 8 au 9 mai de cette année, des inconnus se sont introduits dans la Maison des Syndicats, Le centre névralgique des organisations syndicales sis à Dar el Beida à Alger, et y ont subtilisé les deux seuls ordinateurs trouvés sur les lieux.
Si les syndicalistes accusent l’Etat algérien d’être derrière ce forfait, c’est que leur siège est mis sous une indiscrète surveillance policière. Depuis plusieurs mois, des agents en civil filment à partir d’une voiture banalisée toutes les activités qui se déroulent autour de la Maison des Syndicats. Pendant ce temps, des militants sont appréhendés dans la rue et sont tabassés ou mis en garde à vue pour être fichés.
En plus de la répression, l’Etat a su éloigner les manifestations actuelles de leur objectif initial (le changement du régime) pour leur donner une orientation purement économique et sociale à laquelle il répond par des augmentations des salaires et l’amélioration des conditions de travail des fonctionnaires. Il a finalement pu discréditer au moins partiellement le travail des syndicats autonomes. Si une partie de la population trouve courageuses leurs initiatives répétées à Alger, une autre partie considère qu’ils ont cédé à l’opportunisme.
Mascarade syndicale
Pour le politologue Mohammed Hennad, « l’Etat veut faire comprendre aux syndicats autonomes qu’ils doivent se limiter aux revendications salariales sans toucher au politique. » Afin de mieux comprendre la mansuétude étatique à l’égard des fonctionnaires dont les émoluments sont augmentés après le moindre mouvement social, il faut rappeler que l’augmentation des prix des matières premières a permis à l’Algérie de connaître une embellie financière exemplaire.
Avec une réserve de change estimée à près de 155 milliards de dollars et un PIB annuel estimé en 2010 à 150 milliards de dollars alors qu’il n’était que de 48 milliards en 1999, le chef de l’Etat, avec la bénédiction du syndicat officiel l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), croit pouvoir « acheter » la paix sociale.
M. Mohammed Hennad « regrette que l’UGTA ne joue pas, dans les manifestations algériennes, le même rôle qu’a joué l’UGTT dans la révolution tunisienne. Au lieu de cela, elle ne se prononce que pour conforter et consolider le régime en place. »
Créée en 1956 pour lutter contre l’exploitation des Algériens par la France coloniale, l’UGTA est depuis l’indépendance une formation officielle. Elle est du côté du pouvoir et le pouvoir, qui ne se soucie que de sa pérennité, est du côté des multinationales et contre la démocratisation de la vie politique.
Tous les syndicalistes autonomes sont pourtant d’accord sur un point : « la base de l’UGTA est sincère et nous composons avec elle. » Mais quand un mouvement commence à prendre de l’ampleur, « le bureau national rappelle à l’ordre ses adhérents et leur ordonne de se tenir à l’écart », s’indigne M. Idir Achour.
La véritable fonction de l’UGTA consiste à donner le change. Des tripartites – mascarades syndicales – sont régulièrement organisées, réunissant le gouvernement, le patronat et l’UGTA. Le syndicat officiel entérine donc les décisions du patronat approuvées par un gouvernement sans aucun programme politique clair. Et en échange de sa servitude, M. Abdelmadjid Sidi Saïd, à la tête de la centrale depuis 1997, se voit attribuer le privilège de crier les bonnes nouvelles. Ce fut le cas en avril 2009 où il annonça une augmentation du salaire minimum SMIG alors qu’il battait compagne pour le troisième mandat d’Abdelaziz Bouteflika.
Pour toutes ces raisons, les syndicats non officiels tiennent à se distinguer par leur « autonomie ». Engagés dans une lutte acharnée contre le régime et rêvant de répéter les scénarios révolutionnaires tunisien et égyptien, ces syndicats ont besoin de faire leur entrée dans le secteur privé pour sensibiliser un autre public que les fonctionnaires.
Les consultations lancées par le chef de l’Etat pourraient leur donner l’occasion, s’ils sont reçus par l’Instance de consultation sur les réformes politiques, de faire entrer ce point dans la « nouvelle » mouture de la Constitution. Une chose à laquelle ni les syndicats, ni les partis de l’opposition ne croient. Pour eux, avec ces consultations, Abdelaziz Bouteflika veut faire diversion et gagner du temps en attendant que les protestataires s’essoufflent. Quoi qu’il advienne, les « autonomes » devraient inventer une nouvelle manière de mobiliser tout en restant à l’écart des partis politiques dont la population se méfie. L’avenir les sollicitera sans doute beaucoup plus que le présent.
Syndicat Abattage halal
Tendances halal musulmans travailleur
Pour faciliter la discussion entre professionnels
http://produit-halal.blogspot.com/
http://www.islamenfrance.fr/
Conscience Musulmane ont des droits !
Assinar:
Postar comentários (Atom)
Nenhum comentário:
Postar um comentário